jeudi 25 février 2010

Comment fabriquer une bougie parfumée et colorée?

Bonsoir,
C'est l'occasion justement du Mawlid Nabaoui, je souhaite à tout le monde une longue vie basée sur l'obéissance de Allah et son messager saaws amine, comme chaque famille et chaque région possède ses propres traditions et coutumes, donnant une sublime variation de cultures, je crois tout de même que la bougie fait partie en commun partout où se manifestent les célébrations.
Pour cela, je vous ai choisi un billet original pour apprendre comment fabrique des bougies selon son propre goût en choisissant la couleur préférée, et l'arôme qu'on souhaite donner à la fumée.

Liste des fournitures:

* Des moules à bougie

* Des huiles essentielles et des colorants

* Une mèche

* De la cire ou de la paraffine.

Étapes de réalisation:

1. Pour commencer, faites fondre votre cire. Le plus simple est de mettre la cire dans une boite en plastique et de la placer au micro-ondes. Si vous n'avez pas de micro-ondes, utilisez une vieille casserole et faites-la fondre à feu doux.
2. Pour colorer votre bougie, mettez-y tout simplement du colorant alimentaire. Seulement, mettez-en très peu ,car la cire se colore très vite.
3. Pour parfumer votre bougie, utilisez de l'huile essentielle. Versez-en quelques gouttes dans votre cire liquide.
4. Ensuite, placez la mèche dans votre cire. Maintenez la droite pour qu'elle soit bien placée lorsque la cire durcira.


Et voilà ;)
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mercredi 24 février 2010

Détecter le mensonge

Les signaux corporels du mensonge

Le plus important, lorsqu’on cherche à détecter le mensonge, c’est de savoir reconnaître les signaux corporels caractéristiques de la tromperie.
Il faut savoir que mentir n’est pas un acte anodin. En général, proférer un mensonge provoque un certain malaise, voire du remord, et s’accompagne par conséquent de signaux corporels caractéristiques plus ou moins prononcés selon l’importance du mensonge, et l’entraînement du menteur. Pas besoin d’être un détecteur de mensonge pour reconnaitre ceux qui “ne savent pas mentir”.
S’il est facile de contrôler ses paroles, par exemple en répétant son texte à l’avance, il est plus complexe de maîtriser son langage corporel. Par conséquent, les signaux de tromperie sont à rechercher dans le langage du corps, sur le visage, dans les mouvements des mains et des pieds.
Voici un panel de ces signaux. Attention toutefois, il faut considérer ces éléments comme un ensemble, et non pas individuellement. Chaque élément en soi ne signifie pas qu’il y a mensonge. En revanche, si vous parvenez à détecter plusieurs de ces signaux chez votre interlocuteur, il y a de bonnes chances pour qu’il soit en train de vous raconter un bobard.

  • Auto-contact de la main au visage : Lorsque nous discutons avec quelqu’un, il nous arrive de nous toucher le visage. Mais lorsque nous mentons, cette tendance augmente de façon spectaculaire. Le mouvement le plus courant est la main qui couvre la bouche, suivi de la main qui touche le nez. Avez vous déjà vu un enfant mentir ? Alors vous avez sûrement remarqué qu’il était trés mauvais menteur, et facilement repérable. Les enfants qui mentent ont souvent le réflexe de plaquer maladroitement la main sur la bouche, et c’est un geste bien trop évident pour être crédible.
En grandissant, on apprend à être plus discret, mais le mouvement de base reste le même. La main s’élève, et gratte le coin de la bouche, ou frotte la lèvre supérieure, etc. Dans son livre La clé des gestes, Desmond Morris avance l’explication que le cerveau, qui éprouve de la gêne, donne l’ordre à la main de couvrir la bouche pour empêcher les paroles mensongères de sortir, et c’est pourquoi le mouvement est amorcé pour “museler” le menteur. Cela dit, ce mouvement n’empêche pas le mensonge d’être proféré, mais le geste est fait.
Un autre grand classique est la main qui touche le nez. Souvent, le mouvement de la main pour toucher la bouche est amorcé, mais reste incomplet, et termine en grattement ou en frôlement du nez.
Les autres gestes d’autocontact utilisés par les menteurs, quoique moins fréquemment, sont la main qui caresse le menton, qui passe dans les cheveux, qui frotte la joue, et qui caresse l’oreille.
Si votre interlocuteur se gratte le menton, cela ne signifie pas forcément qu’il ment. Mais si vous observez une multiplication des autocontacts de ce type, vous savez qu’il faut faire attention.
  • Les trémoussements : Le menteur mal à l’aise affiche une tendance élevée au trémoussement et aux infimes changements de positions. Comme si son plus cher désir était de prendre la poudre d’escampette, il se dandine, passe d’une jambe à l’autre, remue sur sa chaise, bref, ne tient pas en place. Si votre interlocuteur gigote comme une anguille, soit il a une envie pressante, soit il vous cache quelque chose.
  • Les signaux du visage : Un menteur présente certaines incohérences faciales, il est victime de tics et de micro-expression. Ces mouvements trés légers sont quasiment invisibles à l’oeil nu, et il faut beaucoup d’entraînement pour arriver à les détecter. Ainsi, les muscles du visage se contractent trés légèrement, les pupilles se dilatent et se contractent, la fréquence de clignement des yeux augmente de manière significative, un rougissement apparait, etc. D’autres signaux sont plus facilement visibles. Un menteur a tendance à avaler sa salive plus souvent, et être victime de transpiration. La fréquence des sourires à également tendance à diminuer.
  • Les gestes des mains : Lorsque nous parlons normalement, nous soulignons naturellement nos propos par une gestuelle des mains. Mais lorsque nous mentons, nous avons tendance à diminuer les mouvements de nos mains le plus possible. Nous pouvons par exemple les glisser dans nos poches, nous asseoir dessus, les placer dans notre dos, les joindre et les laisser pendre, etc. Les mains peuvent également être révélatrice d’un état de tension interne, lorsqu’elles jouent avec un trousseau de clé dans un poche, ou lorsqu’elles présentent une activité fébrile.
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dimanche 21 février 2010

MAÏSSA BEY

MAISSA BEY

Écrivaine

L'ultime rempart des mots

Contrairement à bon nombre de ses compatriotes romanciers, elle a décidé de ne pas quitter son pays, notamment pour mieux témoigner du sort des femmes, une cause qui lui tient à cœur. Samia Benameur, alias Maïssa Bey de son nom de plume, est une écorchée vive. « A tous ceux, dit-elle, qui me demandent pourquoi j’écris, je réponds qu’aujourd’hui je n’ai plus le choix, parce que l’écriture est mon ultime rempart. Elle me sauve de la déraison et c’est en cela que je peux parler de l’écriture comme d’une nécessité vitale. »

Après avoir suivi des études universitaires de lettres à Alger, Maïssa Bey enseigne le français à Sidi Bel-Abbès (à 80 km au sud-ouest d’Oran), où elle réside encore aujourd’hui, et préside l’association Paroles et écritures.

Elle publie son premier roman en 1996, Au commencement était la mer. De romans en nouvelles et en pièces de théâtre, Maïssa Bey a, depuis, décroché de nombreux prix littéraires, en Algérie et dans le monde francophone. Le dernier?? Pas plus tard qu’en novembre 2008 pour Pierre, sang, papier ou cendre, qui a reçu le Grand Prix du roman francophone au Salon international du livre d’Alger (Sila).


Oeuvres:

«Au commencement était la mer»
Rroman, Ed. Marsa 1996 - Ed de l'Aube poche, 2003.

«Nouvelles d'Algérie»
Ed Grasset, 1998 - Grand prix de la nouvelle de la Société
des Gens de Lettres.

«A contre silence»
Recueil d'entretiens et de textes inédits - Ed. Parole d'Aube, 1999.

«Cette fille-là»
Roman, Ed de l'Aube, 2001 - Prix Marguerite Audoux.

«Entendez-vous dans les montagnes...»
Récit, Ed. de l'Aube et Ed. Barzakh, 2004

«Sous le jasmin la nuit»
Nouvelles, Ed. de l'Aube et Ed. Barzakh, 2004

«Surtout ne te retourne pas»
Roman, Ed. de l'Aube, 2005

"Bleu, blanc, vert (ed. l'Aube, 2006)

Pierre, sang, papier ou cendre (éd. l'aube, 2008)
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