<<C'est vrai l'Algérien est un vrai inconnu chez lui je voudrai dire manque de savoir vivre dans son fief "Algérie" .Il manque de respect,de tolérance,de vérité,d'amour,de patience,de courtoisie...Mais une fois installé ailleurs sous d'aures cieux il se métamorphose en un clin d'oeil pour devenir un modél de correction , de respect et surtout ,surtout,surtout,surtout... de "bosseur".Alors quelles raisons nous "terrassent" chez nous et quelles causes nous "dressent droit" ailleurs !!!!? >>
Je dirais :
Là, je ne peux penser qu'aux Harraga, description typique à un Harrag, qui, n'arrive pas à s'intégrer dans un entourage de boulot fixe, dû essentiellement soit au défaut de compétences recherchées, ou par manque d'occasions, comme c'est le cas ici clair et net, en outre d'avoir une personnalité aussi altérée comme tu viens de la décrire.
A mon avis, l'état psychique et social, joue le rôle le plus néfaste sur l'efficacité de cette catégorie vis a vis à son comportement ainsi à sa qualité de son travail. C'est à dire, ça ne peut pas être résultant d'une nature d'un être "algérien", ni de son besoin instinctuel d'être soumis ou dirigé par un étranger.
Si on avait envie de réveiller cette conscience pour bien fonder son pays, il fallait saisir que l'algérien a perdu espoir en son pays quand ce dernier a perdu croyance en premier.
Après le changement des cieux, souvent à l'autre bout de la mer, ce "Caméléon" arrive distinctement à changer de conduite et de sa façon de vivre, MAIS uniquement vis à vis à cette communauté hôte, et envers ses accueillant, parce qu'au fond, il reste le même. Et j'en serais un super témoin.
Tout ça me fait revenir à l'autre catégorie, disant plus stable, plus cultivée, qui ne pense à changer de pays que pour faire meilleur (à l'aide de l'aisance et l'abondance des moyens), et d'après ce que j'ai vu autour de moi, ces éléments là, ne changent pas autant de couleurs, comme ils travaillaient ici, il travailleront ailleurs, c'est juste ce sentiment de solitude et ce manque d'entourage soutenant, leurs poussent à éviter tout erreur et par conséquent travailler dur.
Qu'en pensez vous ?
A mon avis, l'état psychique et social, joue le rôle le plus néfaste sur l'efficacité de cette catégorie vis a vis à son comportement ainsi à sa qualité de son travail. C'est à dire, ça ne peut pas être résultant d'une nature d'un être "algérien", ni de son besoin instinctuel d'être soumis ou dirigé par un étranger.
Si on avait envie de réveiller cette conscience pour bien fonder son pays, il fallait saisir que l'algérien a perdu espoir en son pays quand ce dernier a perdu croyance en premier.
Après le changement des cieux, souvent à l'autre bout de la mer, ce "Caméléon" arrive distinctement à changer de conduite et de sa façon de vivre, MAIS uniquement vis à vis à cette communauté hôte, et envers ses accueillant, parce qu'au fond, il reste le même. Et j'en serais un super témoin.
Tout ça me fait revenir à l'autre catégorie, disant plus stable, plus cultivée, qui ne pense à changer de pays que pour faire meilleur (à l'aide de l'aisance et l'abondance des moyens), et d'après ce que j'ai vu autour de moi, ces éléments là, ne changent pas autant de couleurs, comme ils travaillaient ici, il travailleront ailleurs, c'est juste ce sentiment de solitude et ce manque d'entourage soutenant, leurs poussent à éviter tout erreur et par conséquent travailler dur.
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